Je ne sais si tu voles dans l’immensité de l’atmosphère,
Je ne sais si tu glisses sur l’immensité de l’océan,
Je ne sais d’où tu viens,
Je ne sais où tu vas
Mais je sais que tu n’avances que par la force du vent.
B.S
Ô mouettes, goélands, albatros, pétrels,
Aux ailes éployées, dans les grands vents marins,
Ma voile vous envie, qui penche sous le ciel
Et qui rêve de voler, de voler enfin !
André Bonafos